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Mes petits pious pious
M’ont rendu fou
Ouf ! Ouf !

Facochère ? peuchère, tu parles d’un mot. Merde. Je sais pas quoi dire, quoi faire, et pour en revenir à la crise tout coûte trop cher, surtout pour ceux qui en ont conscience. Et capital ? Ce mot me ramène à elle, à Paris, prof de français. Elle détestait les araignées et les fourmis, leur préférant les grenouilles. Des grenouilles partout dans son studio du V ème. Quelle petite bourgeoise. Quelle meuf. On adorait jouer à des jeux de mots ridicules où on devait éviter le mot « enculé » : le genre : si tu avances et je recule comment veux tu que je te calcule, au crépuscule, renoncule et pédoncule. Etc j’ l’aimais beaucoup, celui-là : pédoncule va ! Un frémissement d’espoir à l’horizon : là je triche presque, mais bon, si y a pas triche, y a pas jeu. C’es quand même sympa quant on n’est pas le pigeon, à la fin.


Autant de souvenirs que du vent

Le vent d’Autan nous déchirait les poumons, chargé des poussières ocres du siroco. Le vent des fous, des fadas de Toulouse cette enfance là, cette chance là, le souvenir de mes frères et de ces hommes étranges venus du Maroc apportant des fleurs aux noms magiques : des immortelles.

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