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alain

Les oiseaux chantent, les enfants jouent.
L’hiver n’est plus là on en voit le bout.
Tra la la Itou !

Un soldat en éclaireur est venu me voir ce soir. Il a toqué à ma porte en la présence de ma maman qui venait de rentrer de sa réunion tipéroir où elle avait acheté des saladiers verts et roses, couleur de l’aube naissante, l’heure à laquelle le robot bourreau est venu au bureau en robe de bure mais il ne vendait pas de tipéroir donc il n’intéressait pas ma maman qui voulait acheter des saladiers verts et roses. Et au cas ou vous trouveriez cette histoire de robot, de saladiers et de maman incongrue, il faut bien vous dire que ce que je vous raconte, je le raconte sans déranger ceux qui y habitent. Où ? Mais dans la maison où le robot est venu en éclaireur. Au commencement, sans lumière, il n’éclaire pas le monde des damnés où il ne fait que jouer aux dames en attendant l’embarquement immédiat vers le paradis où il n’y a pas de dames pour y jouer. Au paradis c’est dingue, mais ils ne jouent qu’aux échecs et le robot éclaireur ne savait pas jouer aux échecs. Mais il jouait aux dames avec ma maman qui voulait acheter des saladiers verts et roses comme l’aurore, l’heure des damnés. Mais bon dieu, mais c’est bien sûr ça, il n’y a que dans les boutiques préhistoriques pleines de vide où il y a des saladiers verts et roses comme l’aurore.

La lettre
La trampoline était libre et Pauline affublée de sa gabardine s’en accapara la coquine. Elle jouait en sourdine du Chopin pas de la chopine. Mais elle était Butine pardine en jouant à la quine. Mais que vient faire Chopin sur le trampoline avec Pauline en gabardine ? Mais elle pine en sourdine la coquine. Peut-être avec Chopin et pourtant elle ne s’appelait pas Elise. Pine-t-elle ou dine-t-elle ? L’histoire ne nous le dit pas.

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