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christophe

C’est sur la route salée qu’elle a glissé
Petite Clio au nez plissé, à la glace brisée
Appelle ta Mutuelle.

C’est dans la braise de son cœur que brûlait la passion. Pourtant ce lapin qui courrait dans les parcs n’avait pas d’intention particulière ce matin-là. Quand il rencontra l’aube il ne s’attendait pas à une telle vision. Pour un lapin à peine sorti de son terrier natal, cela fait rêver à la création du monde. Qu’il se tienne près des cinés ou face au parc, l’inspiration lui venait, le ventre plein, l’esprit vif après le déjeuner : il avait bien vu un pré rempli de taureaux. Fuyant à toutes pattes il se libère dans le corral des rodéos et déglingue en duel trois salauds de zèbres qui l’attaquaient. Une vision à nouveau le prend par derrière : il se voit dormant sous un arbre immense. Subjugué par les fluides d’une nature émoustillée. L’eau est claire, la menthe est fraîche, les carottes sont cuites.

Ça patine à St Martial
Au paradis, pardine, un souffle d’air en sourdine chez le Zeph en gabardine qui saute dur le trampoline avec cette coquine de Pauline. Alors ce divin uni à sa divine s’évanouit en parfums improbables au hasard d’une quine où l’on doit choisir entre la pine et le pinard. Butine, butine jolie coccinelle, qu’enfin l’on dine dans ce pique-niques à cinq euros.

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