Du lundi au mercredi j’ai avalé mon mardi
Du jeudi au samedi j’ai digéré mon vendredi
Et de mon pauvre dimanche
Passé à déféquer cette semaine sans intérêt, je ne peux qu’essuyer ces jours passés.

C’est Robin du Bois, qui s’introduisant dans une citadelle mégalo perchée sur les hauteurs de la bosse de mon cuq, il pris dans son panier un ballotin de pralines dont les senteurs se propagèrent dans les lacs et forêts à l’infini. Et de son impressionnante bouche, Robin du bois avala sa salive lui rappelant un hiver au Quebec. De cet éclat unique il se mit à rire aux larmes torrides, mais les débats de la conférence pris des tournures surprenantes et elles ne seraient pas étrangères à la crise de Robin du bois qui ne trouvant plus la sortie de la citadelle pris une crise d’angoisse l’obligeant à se diriger vers la taverne, dégusta des demis pour décompresser. Une fois saoul il trouva la sortie. Ouf, moi aussi.

Sacrée Pauline
Quand Pauline, pour enlever sa gabardine rentra dans la cabine, j’ai cru que c’était pour sauter sur le trampoline, mais pardine la coquine, il n’y eu pas besoin de crier quine pour qu’en sourdine elle butine ma pine. Tu étais divine ma Pauline. Pour la peine, viens chez moi que l’on dine, j’ai fait des sardines !