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richard

Et voilà une semaine stérile
Ne m’apportant rien de fertile.
Le silence et l’absence.


_ Que se passe-t-il ? J’entends du bruit.
_ Refoulez à l’intérieur, voyons !
Prudemment, je glisse un œil au travers d’une fente dans la porte de bois, et surprise m’apparaît un fantôme dans les entrailles du bois. Malheureusement, je trébuchais et perçus de l’intérieur : « vous avez le bonsoir d’Alfred ». Une voix de rêve. Je me surpris de n’être pas plus effrayé que cela. J’étais presque forcément à un lieu de savoir ce qui allait m’arriver. Une horde de cavaliers oubliés d’un paysage hors du temps se rapprochait dans un nuage du poussière. Parvenu à mes hauteurs l’un d’entre eux, droit sur sa monture me toisa avant de me lancer : « écoutez votre cœur, il a raison ». c’est pourquoi d’un seul élan je les invitais tous à un grand pique-nique. Cherchant le fantôme pou lui demander de se joindre à nous, je ne le trouvais plus. Je continuais malgré tout, puis d’une voix d’outre-tombe j’entendis : « il est déjà dans votre poche ». Je sentis une main se serrer dans une sorte de nuage froid. Je lui répondis : « bonjour. »

Pauline, la divine coquine au trampoline

Ce soir, se dit Pauline,
Nue sous sa gabardine,
J’ai envie d’être coquine.
Vrai qu’elle était divine.
Vrai qu’elle espérait en sourdine
Trouver qui la butine,
Un belâtre Pardine
Celui avec qui elle dine.
Avant que sur un trampoline
Elle se voit crier quine.
En attendant l’aube et pine.

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