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roni

Quel capot la trachéïte
Ça s’rait mieux avec des mites !
Quand est-ce que ça implose.

Quand dans l’paddock on s’étouffa
La râpe à glaviots dans l’embarras
Au secours, je m’escagasse.

C’est toujours au même rythme que
La nature s’envoie en l’air du temps
Les inscriptions encore possible
Sur la grande muraille de l’impossible
Impétrant qui navigue
Au cours de la chimie du corps humain
Patin couffin désireux d’être à qui mieux mieux
Dans les limbes du pacifique floc
A tirer dans tous les coins de la cervelle pouilleuse du pinard incandescent
V’là donc Pépin qui s’amène de béton en bitume
Qui s’esclaffe en dix-treize ans entre les ronds de chapeaux de la mamelle dyslexique
Qui ternit au soleil couchant des objets
De dérision et de convoitise hilarante et désuète
Que trône sur le gibus d’une dégringolante et affriolante zèzette
Culotte à tous les vents du palpeur enthousiaste de la grosse boulette piquante et suavissime
En dandinant du poil comme des pouliches falsifiées
Qui pinaillent dans le boxe du mystère des empaffés calfeutrés
Sous l’ombrelle de Marie Antoinette
Quand elle chût du haut de ses falbalas cancérigène !
Quel déluge d’hypocondriaque vociférant
Dans le plasma de l’oubli crétin
Que le fait qu’on ait trouvé, caché sous le sable, un évangile de Marie-Madeleine
Putassière en mal de ré-insertion inter-stellaire
Quand Sainte Véronique la plaqua sur le fronton pissotant
Des mamelles du diablotin anphibie.

Derrière le petit bois…
Eh ! Pardine, elle y alla en sourdine sous sa grande gabardinecouleur de bibine,
Elle s’affala au trampoline du joli moi d’ermine
La gentille Pauline
Sa chevelure divine
Flottant au vent, mutine
Elle se dresse la coquine quine
Pour épier sous sa capeline
Le merlan frit qui pine
Derrière la ruche et butine
L’abeille qui se dan-dine…

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