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sandra

Que pouvoir dire de cette dernière semaine
Qui m’a fait mal comme une chienne
Snif snif.

Dans la ruelle éclairée par les néons du bureau, il y avait des jours plus sombres que les nuits. La vie du détective privé qui résidait ici était d’une lenteur monotone. Cette vie qu’il avait choisie lui semblait terne et fade, mais il se rapprocha pour aller plus loin dans ses désirs de compréhension de l’être humain. Son désir fût soudain. La nuée des réverbères dans la nuit lui donna la nausée. Il prit sa superbe cabriolet afin d’aller chercher l’air marin et iodé d’une plage normande. Mais il est vrai que cette atmosphère pouvant saouler comme un bon verre de vin, « et à consommer avec modération ». Il parti. De retour dans la cité parisienne, il décida de passer voir les personnes qui formaient son arbre généalogique, mais une voix lui disait préparez-vous à douter de votre famille. Il passa la cinquième et rentra chez lui s’effondrer sur une confortable moquette. Ses songes, ses souvenirs en tête, il s’effondra ; sa carcasse rongées d’un rêve d’aventure, en ayant une douce pensée concernant les baigneurs sous le ponton qu’il avait croisé.

Soirée d’un légionnaire

Ce jour où mon frère est sorti avec sa gabardine, je me suis dit que va-t-il faire. Il était beau en légionnaire, allait-il voir sa coquine. Il est vrai que Pauline avait un sourire d’ange elle était à vrai dire, divine. Mais avant qu’il ne butime, il lui fallait l’amener se restaurer. Mais une fois l’énergie dans leurs deux corps renouvelée, ils se dirent pardine, retournons nous lover en sourdine. Une fois enlacés et les corps jouant comme des trampolines, elle lui cria quine et sa pine se retrouva dans la chaleur de son corps.

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