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tigui

Téléphone excité
Téléphone épuisé
Gaston !

De plus en plus fou ce manège : chaque jour, combler le vide de son ventre qui se vide aussitôt. Autant dire le boulot d’un buteur sans frontière avec un trou immense dans le filet des cages. Et oui, je suis gourmande et je digère très bien, et très vite ; une ventrevidise tellement fiable qu’elle est garantie même pendant les fêtes, et avec sa musique par surcroit. Du vent dans les bambous disent mes voisins timides un peu incommodé par les aléas de mon travail tripal. C’était le premier jour de sa vie nouvelle quand j’emménageais près de Martin et que je ne le ménageais ce jour-là, lui faisant offrande de la puissance d’un pet notoire. « Les fantômes reprennent du service » s’exclama-t-il l’œil fiévreux, avant de pondre dans la foulée son œuvre complète sur la musique des sphères. « Que la fête commence » me dis-je, le voyant ainsi négliger son poste d’employé au service des impôts du canton.
C’est ainsi que fut créditer à mon arrière train bavard de nombreuses révélations.
Moralité : maintenez le cap avec des fayots au frigo plutôt qu’une cracotte au bureau, il n’est rien de plus humaniste qu’un cul joyeux et partageur.

Qui dine et gourgandine.
Le murmure de la rue tout en sourdine sous la neige. Pardine je le devine, troquant sa gabardine contre le trampoline, ce fier et cher Printemps, sa coquine Pauline. Ah Pauline, si divine voisine, qui au lieu de dire « quine », me taquine la pine et butine, mutine, moi qui vine et qui dine. Les oiseaux eux s’ébrouent, chantonnent la combine !
Mais dis-moi tu devines ?
Bin oui, c’est une muse Pauline, du temps qui passe et use, celle qui nous amuse, l’exquise gourgandine !

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