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et que les stylos dansent - Page 8

  • roni

    Quel capot la trachéïte
    Ça s’rait mieux avec des mites !
    Quand est-ce que ça implose.

    Quand dans l’paddock on s’étouffa
    La râpe à glaviots dans l’embarras
    Au secours, je m’escagasse.

    C’est toujours au même rythme que
    La nature s’envoie en l’air du temps
    Les inscriptions encore possible
    Sur la grande muraille de l’impossible
    Impétrant qui navigue
    Au cours de la chimie du corps humain
    Patin couffin désireux d’être à qui mieux mieux
    Dans les limbes du pacifique floc
    A tirer dans tous les coins de la cervelle pouilleuse du pinard incandescent
    V’là donc Pépin qui s’amène de béton en bitume
    Qui s’esclaffe en dix-treize ans entre les ronds de chapeaux de la mamelle dyslexique
    Qui ternit au soleil couchant des objets
    De dérision et de convoitise hilarante et désuète
    Que trône sur le gibus d’une dégringolante et affriolante zèzette
    Culotte à tous les vents du palpeur enthousiaste de la grosse boulette piquante et suavissime
    En dandinant du poil comme des pouliches falsifiées
    Qui pinaillent dans le boxe du mystère des empaffés calfeutrés
    Sous l’ombrelle de Marie Antoinette
    Quand elle chût du haut de ses falbalas cancérigène !
    Quel déluge d’hypocondriaque vociférant
    Dans le plasma de l’oubli crétin
    Que le fait qu’on ait trouvé, caché sous le sable, un évangile de Marie-Madeleine
    Putassière en mal de ré-insertion inter-stellaire
    Quand Sainte Véronique la plaqua sur le fronton pissotant
    Des mamelles du diablotin anphibie.

    Derrière le petit bois…
    Eh ! Pardine, elle y alla en sourdine sous sa grande gabardinecouleur de bibine,
    Elle s’affala au trampoline du joli moi d’ermine
    La gentille Pauline
    Sa chevelure divine
    Flottant au vent, mutine
    Elle se dresse la coquine quine
    Pour épier sous sa capeline
    Le merlan frit qui pine
    Derrière la ruche et butine
    L’abeille qui se dan-dine…

  • roger

    Pauline la coquine

    Cette divine coquine de Pauline faisait en sourdine du trampoline en gabardine. Quelqu’un crie quine, sous la gabardine, elle butine la pine, pardine. Pour avoir la dine.

  • l'oeil d'isis

    Quoi dire ?
    Plein de choses, rien, tout
    Mais à qui, quoi, donc, où ?
    Trop de choses et un tout
    Les mots, phrases, ponctuation.
    Mais lire entre les lignes c’est le plus dur.

    A recommencer la prochaine fois la consigne.


    La planète rouge peut virer au bleu. Donc espoir de voir le coup de pouce pour accéder à ce qu’on veut. Un avant-goût du paradis donc : que du bonheur. Le mois prochain, Février. L’instant de gloire est arrivé, la vie en effervescence. Attention, Pat arrive, en disant je ne peux pas lire, je n’ai pas mes lunettes. Les routes sont mouillées, ce n’est pas moi qui ai cassé la machine à laver. Pas le temps d’écrire une histoire. Pioche arrive, le mirage de la frontière est sorti. Pose pipi et pose caca. Bloque !

    Pardine, il pleut encore. Va falloir mettre la musique en sourdine. Le voisin va mettre sa gabardine pour venir faire du trampoline chez la voisine. Cette coquine Pauline a prévu le coup. Divine soirée, la quine arrive pour la pine, puis butine et dine.