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  • po




    D’habitude c’est le mercredi
    Le vendredi aussi ça me dit
    Mais bon

    Oh facochère ! Coquin de cochon ! Tonnerre de foutre, je n’ai pas dit merde ça serait vulgaire. Comment revenir après ça à un débat qui mêlerait la conscience capitale et la bonne éducation. Y a pas de mot assez distingué, mais sans trop se la péter non plus, c’est plutôt un truc de fourmi, du genre besogneux sans le savoir, au service du bon fonctionnement capital pour la survie de l’espèce. C’est au crépuscule qu’on commence enfin à sentir le frémissement du vent de l’espoir mais trop tard. A l’horizon foin de facochère, c’est pas du jeu, ça me bouscule la formule j’ai le pigeon qui commence à avoir faim.


    Vent de printemps
    Y’a du vent dans les feuilles
    Les filles de la ville partout
    En vrille par bourrasques,
    Certaines s’accrochent aux grilles,
    D’autres perdent leurs espadrilles elles finissent de toute façon en guenilles. Là normalement il doit se passer un truc du genre : les pupilles qui s’écarquillent et les papilles qui frétillent et je ne sais quoi qui pétille mais y’a Géraldine qui s’épostille, elles est gentille et tout mais ça me coupe l’appétille !

  • laurence



    Des choses, des gens,
    De l’air, du temps,
    Migraine en solde. Une fleur



    Quel phacochère ce pharmacien à la triste pharmacochère presqu’autant que cette merde, revenant mollement riche d’énorme soucis à la conscience usée de ma tête capitale encombrée par les mots.
    Je désire trop fort même une dose de fourmis, rien qu’un peu d’aspirine pour accéder enfin à un peu d’ crépuscule.
    Frémissement surprise de sous de dessous mon mouchoir. Nouvel espoir !



    En coup de vent
    Dans le souffle du courant d’air le sourire de Marie me chatouille par surprise. C’est vert. Je passe, mon sourire demeure.
    La voilà loin derrière.

  • kharo




    C’est dificil, vai je être habile
    Voir, boire.


    Facochère, facochère, qu’est ce, ce barbare mot ? Merde alors mais qu’est ce

    Revenir, i faut revenir maintenant, qu’est ce j’en ai à faire de ce mot. Je ne souviens pas, ma conscience n’accroche pas pourtant c’était capital ce mot ,il manque je ne sais plus pourquoi. Ce mot que je cherchais comme une fourmi qui ramène sa mie. K’est ce mot fourmi Facochère, Porte, voiture, Cochère,Cochet.

    Au crépuscule j’ai pu ! Le frémissement ; k’est ce frémissement. Mais qu’est ce barbare mot, quel espoir courrai je dans cet horizon. Je cherchais koi, Frémissement facocherche cherche cochère porte, cochère pigeon, crotte mais c’est koi !
    Du font du couloir, résonne encore la voix. As tu faim chérie


    Dans le vent

    Dans la fraîcheur d’un soir, dans le noir les reste de mes espoirs. Quelle belle liberté ce vent à la volée qui me claque, me broie, m’envahit, me niche contre ce mur , me garde à vue( gardé à vue) sous cette pluie protectrice.