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  • karim

    Je suis un chercheur de mots en or, mais j’ai perdu ma mine et j’ai des pépites en orbite ; ça me rend malade, mais le chercheur entame les pas vers sa guérison, car il possède un chauffe-eau solaire ; salaire ! Pour le rapprocher des pépites perdues ! Ces sacrées pépites qui lorsqu’elles sont fondues, par le processus que sont les noces de la chimie ?!... L’homme est un chercheur et son but est une quête personnelle qui pourra un jour, l’amener à finir ses jours au soleil et enfin pouvoir maîtriser son bronzage et c’est pour ça qu’on les aime : « les pépites ! ». Tout un voyage grâce à ces pépites affichettes qui doivent faire un récit et exprimer les bienfaits de la fidélité d’un crayon à la mine de plomb !

    Pardine ! S’écria le jeune Pierrot, qui lorsqu’il baragouine ne le fait jamais en sourdine. Ôtant sa gabardine, il sauta sur le lit comme sur un trampoline, où la divine Pauline qui sachant se faire coquine, s’enquit de la pine du Pierrot, qui déjà butine la petite fentine de la gourgandine qui depuis longtemps, déjà dine !... avec Martine qui s’écria chaud la tajine.

  • isarmonie

    Une semaine de passé, déjà si vite
    J’évite d’y penser mais elle t’a épuisée
    Je l’ai perdu de la trouver, j’y suis
    Perdue si tant est que je puisse le dire

    On peut chercher à dire ses sentiments, mais les sentis et les ressentimentent. Pas seulement pour les boulangers ou les plombiers, les présidents ou les manants, les prolétaires… Une mer très fragile de sentiments s’étend dans un temps infini et vivant. On peut chercher si on a le temps, on peut toujours chercher sans jamais trouver. Les morsures du doute sont toujours si touchantes, si présentes, face à l’horizon du vide des questions. On… Au sommet de la question du « on », on dit « qu’il y a un con ! » Con de temps, sans sentiments, con haut perché… Sa vérité est ailleurs, dans une autre dimension que la dimension du « on ». Un trou noir a percé mon histoire et le jeu commence avec moi et enfin pour l’aspect trouble de ma personnalité. Trouble et troublée, double et dédoublée par le miroir de cette lumière qui nous illumine et dans une certitude pour tout paiement par prélèvement mensuel que le matérialisme nous assassine tant il veut s’ancrer dans la dure réalité : Le senti-ment, tu sens mais c’est un mensonge, un songe et… Médite sur le monde en folie. Le monde est fou, voyez-vous, le on est à son comble, ce n’est pas moi, c’est l’autre, mais l’autre ment aussi, c’est quoi la vérité ? C’est où la vérité ? Sur quel sommet ?

    Divine joie, le « on » est « in » !!!... Joie divine.
    La divine Pauline joue en sourdine sous sa gabardine, pine ou quine ? Elle butine et elle dine, se dandinant et dodelinant coquine Pauline, divine Pauline, divinisant son con en sourdine, elle dine et part, dine et pardine du bout des doigts butine à la divinité. Trempe oh divine tes doigts ou ta pine… Pardine… Joue en sourdine, joue à la quine avec Pauline, la divine. Oh, j’avais oublié de parler de trampoline ! Mais j’en saute déjà de joie ! Divine vie, ça va de soi et dans la joie.

  • Entre soirées et petits matins
    Beaux dentistes et jolis médecins
    Youpi… ya


    A travers mes mots, à travers mes sons. Je suis. Malgré des nuits plus belles que mes jours je me demande souvent et toujours ? Y en a qu’attendent souvent Godot et moi j’aime bien le sable chaud mais alors, avec les deux réunis je fais au mieux ! En fait je pense que nous avons de grandes similitudes avec la Terre. Alors nous autres, hom et femmes restons légères et sans colères des plans de secours on en a toujours, heureusement les Amours…
    L’art de ne faire qu’une bouchée du monde, ça on sait le faire. Alors maintenant, assumons sereinement, les quelques années de mauvais temps ; qui peuvent s’étaler largement. Un jour une personne m’a dit : «  la mine éclaire le désert de flaques célestes ». Alors restons de bon, loyaux voyageurs étonnants.

    Histoire de farine

    Ah pardine, qu’aurais-je pu te faire croire en sourdine, caché derrière ma gabardine, à sauter sur le premier trampoline histoire de faire croire à toutes ces trombines que je ne suis qu’une coquine. En réalité je ne suis qu’une coquine, comme une de mes meilleures amies Pauline. Toujours divine avec qui j’aurais du aller à la pine histoire de m’échanger une bonne quine pour aller jusqu’à la bonne pine afin de rester dans la butine et de ne jamais se louper une bonne dine.