Une fleur s’ouvre dans les prés
Un chat que j’ai adopté du nom de Biquette est devenue le nouveau jouet de la maison


LIBRE PENSEE

Facochère c’est l’histoire d’une malatre une de ces femmes de merde qui bat les enfants des autres comme dans le film joué par Alice Sapritch qui arrive par le train.
Dans notre conscience, comment laisser une femme brutaliser des enfants ! De les maltraiter ! Parfois il est capital d’enlever ces enfants et de les faire vivre ailleurs, ce mot facochère est un son difficile pour les oreilles. La fourmi est très travailleuse avec les autres comme des esclaves. Elles sont intelligentes avec la nature. Au crépuscule, je regarde de la fenêtre de ma chambre un cimetière le l’autre côté de la rue , dans un frémissement d’horreur, de peur que l’un d’eux se réveille dans l’espoir de croire à cette résurrection. L’horizon c’est quand je suis au volant de la voiture et que je vois loin devant. La route devient un jeu de promenade, se balader en voiture. La route va à la fin du voyage avec mon …………..à ma destination comme avec les voyageurs qui sont des messagers à l’ancienne.


Je fais du feu dans la cheminée
Ca sent le bois brûlé
Qui noircis le conduit avec la suie
Je fais de la cuisine. Il y a de la fumée autant dehors que dedans
IL N’Y A PAS DE FUMEE SANS FEU

Une fleur s’ouvre dans les prés
Un chat que j’ai adopté du nom de Biquette est devenue le nouveau jouet de la maison


LIBRE PENSEE

Facochère c’est l’histoire d’une malatre une de ces femmes de merde qui bat les enfants des autres comme dans le film joué par Alice Sapritch qui arrive par le train.
Dans notre conscience, comment laisser une femme brutaliser des enfants ! De les maltraiter ! Parfois il est capital d’enlever ces enfants et de les faire vivre ailleurs, ce mot facochère est un son difficile pour les oreilles. La fourmi est très travailleuse avec les autres comme des esclaves. Elles sont intelligentes avec la nature. Au crépuscule, je regarde de la fenêtre de ma chambre un cimetière le l’autre côté de la rue , dans un frémissement d’horreur, de peur que l’un d’eux se réveille dans l’espoir de croire à cette résurrection. L’horizon c’est quand je suis au volant de la voiture et que je vois loin devant. La route devient un jeu de promenade, se balader en voiture. La route va à la fin du voyage avec mon …………..à ma destination comme avec les voyageurs qui sont des messagers à l’ancienne.


Je fais du feu dans la cheminée
Ca sent le bois brûlé
Qui noircis le conduit avec la suie
Je fais de la cuisine. Il y a de la fumée autant dehors que dedans
IL N’Y A PAS DE FUMEE SANS FEU

Lundi routine éternel retour
Temps de chien pour l’instant
AH ! la crise dans tous ses états
( que demander sur l’état actuel du monde )


phacochère dans les bois nous aussi pour sûr de la merde plein les pieds.
Les boursiers vont revenir, la conscience peut être, aussi pour nous.
Forêts primaires mais le capital est trop important ce mot qui régi notre monde, économie qui pousse nos vies et les fourmis qu’en pensent-elles ? On devrait prendre exemple sur certaines qui semblent mieux gérer leur société. Nouveau crépuscule pour des jours meilleurs, des frémissements nous en auront encore, comme des espoirs qui nous pousserons vers d’autres horizons, autre que la zonzon. Je le souhaite de tout mon être, la vie est un mystère comme le pigeon qui retrouve toujours le chemin de la fin mais ( qui ne connaît pas la faim ) et le voyage de la fin
Nos forêts connaîtront elles la fin ?


«  Le vent »
Le vent sème la vie
T’en souviens tu ?
Des temps perdus
Au fond du lit
Souvent on en rit