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MAIS QUE DISENT-ils - Page 4

  • roger





    PAULINE était vraiment coquine
    J’espérais la gagner à la quine
    Mais, j’ai perdu ! Poil au nez !



    Facochère, peuchère, pas cher du sanglier au marché, mais merde j’ai pas de quoi payer. Il va falloir revenir chercher des sous, car partir sans payer donne mauvaise conscience. Et moi qui voulait être végétarien, je me ferai bien une visite à la capitale avec Mod(momo quad) mais il avance à pas de fourmi, le momo, donc nous allons prendre le train avant le crépuscule , car je frémis de voir Paris la nuit, mais je perds tout espoir car pas de train à l’horizon. Peut être en mobylette avec momo derrière ça pourrait être un jeu de mots Momo à moto, mais finalement je prendrai l’avion, ça va plus vite qu’un pigeon et on arrive plus vite à la fin .



    Tempête de sable dans ma tête
    Mon âme a froid, mes os aussi
    S’il te plaît, viens me réchauffer lucie
    Dans cette tempête, c’est l’effroi
    Ma lucie, sans toi, je prendrai froid.

    Mais le sable dans le sablier
    Tout doucement a fini par tomber
    Et mon cœur au grand désarroi
    Ne sait plus où est son toit.
    Car la belle lucie s’en est allée
    Laissant mon cœur tout chaviré
    En plein hiver, je vous le dit
    Car l’hiver et la pluie c’est pas fini.
    Aujourd’hui, il n’y a plus un pet de vent
    Et guéris de lucie, je vais vers l’Avant

  • ricardo



    Lune
    Brune
    Chemin du temps
    Route du Camus
    Derrière la rampe
    S’épuise le renard du temple
    C’était un matin vert clair orange
    A la clairière de ce paysage étrange
    La danse vague brûlure de la stèle
    Souffle sur la source pastel
    De la passerelle


    Fable
    Phacochère par terre surgit sur la merde. A la lumière ilme fallait revenir derrière ma conscience . Dans cette nuit capitale je n’y voyais que dalle dans ces mots qui passent en silence. Ma mémoire a construit un barrage de fourmis. Il me fallait prendre le chemin étroit de la berge. Mais derrière le crépuscule j’ai senti comme un frémissement. Je devais pourtant atteindre la porte de la clairière de tous mes espoirs en posant mon regard sur l’horizon éphémère des jeux du destin. La situation devenait insoutenable devant la fin ce pigeon affable.


    Ce vent qui cric craque
    Je t’aime quand tu me traques.
    Comme le vent me pousse je me couche sur toi
    Devant tes yeux je craque en toi reste
    Ce câlin qui me dévore sculpte
    Le souffle de l’instant que tu craches me touche

  • po




    D’habitude c’est le mercredi
    Le vendredi aussi ça me dit
    Mais bon

    Oh facochère ! Coquin de cochon ! Tonnerre de foutre, je n’ai pas dit merde ça serait vulgaire. Comment revenir après ça à un débat qui mêlerait la conscience capitale et la bonne éducation. Y a pas de mot assez distingué, mais sans trop se la péter non plus, c’est plutôt un truc de fourmi, du genre besogneux sans le savoir, au service du bon fonctionnement capital pour la survie de l’espèce. C’est au crépuscule qu’on commence enfin à sentir le frémissement du vent de l’espoir mais trop tard. A l’horizon foin de facochère, c’est pas du jeu, ça me bouscule la formule j’ai le pigeon qui commence à avoir faim.


    Vent de printemps
    Y’a du vent dans les feuilles
    Les filles de la ville partout
    En vrille par bourrasques,
    Certaines s’accrochent aux grilles,
    D’autres perdent leurs espadrilles elles finissent de toute façon en guenilles. Là normalement il doit se passer un truc du genre : les pupilles qui s’écarquillent et les papilles qui frétillent et je ne sais quoi qui pétille mais y’a Géraldine qui s’épostille, elles est gentille et tout mais ça me coupe l’appétille !