Apsence devant des jours d’aptinences jai à lAid-vidence perdu ma con-science.

Je mène ma semaine avec beaucoup de peine. Mais je me démaine pour vous dire Aime

S’ouvrir. Bon j’arrête ce jeux qui me prend pour un pigeon qui vole sans Fin

Es ce que je l’ai trouvé phac o chère ou pas trop

MERDE j’ai eu du mal à revenir à ma conscience.

Ja temps les mots suivants. L’on vient de me dire capital u je le temps de l’écrire qu’un mot me pris la tête et bien étant trop lent d’esprit je me suis mis à réfléchir à pas de fourmi et que ce crépuscule m’envahit dans un frémissement tant te aire je n’ai plus l’espoir de voir mon horizon Excellent ! Est ce que tu as «  l’est qui la vent ».

Partant à l’armée j’ai vu L’ AD JU VENT chef Partout à l’armée j’ai vu L AD JU VENT CHEF que j’ai trouvé EXTRAGAVENT et d’avoir l’air dans l’armée de l’air je lui dis SOL VENT

EXTRA-GAVANT
ET DIT –SOL-VENT
« GASCOGNE MON AMOUR »
ET BON VENT
Que fais tu dans mon DI-VENT
Je te l’ai toujours dit A-VENT-HURE( c’est juste avant MAILLAN)
J’ai un gros mal de Vent

Partout à l’armée j’ai vu L AD JU VENT CHEF que j’ai trouvé EXTRAGAVENT et d’avoir l’air dans l’armée de l’air je lui dis SOL VENT

C’est en allant au marché à la fonderie que je découvris le grand incendie
Voitures écrasées
Nez cassé


Le chasseur était parti très tôt pour traquer le phacochère à double queue. Très rapidement il marcha dans une merde de sanglier. Il se dit : je me suis trompé de pays il ;me faut maintenant revenir en ayant conscience du chemin que je prends. Capital, sinon je vais encore ramener des escargots à la maison. Je n’aurai pas de mot pour m’expliquer et cela finira encore bouffé par les fourmis.
Le chasseur tourna ainsi jusqu’au crépuscule. Son flair aiguisé sentit alors enfin le doux frémissement du parfum du phacochère. Cela fit renaître tous ses espoirs. Enfin peut être une soupière pleine ! Cela élargit son horizon. Une ère nouvelle se dessine enfin. Les jeux sont faits, par ici la bombance, fini la fin, ce ne sera pas moi le pigeon.


Grand Event

Je me traverse le cerveau, entraîné par sa cour de feuilles, c’est lui, le roi Vent,, grand disséminateur des graines, architecte des reproductions où le seul maître est le hasard.
Je fais parler les arbres, devient rapide est dans les cris des cheminées affolées entraîne les grues cendrées vers d’autres contrées. Ce scélérat naît sans prévenir, rue dans les brancards avant de s’endormir, doucement dans des petits bruissements. De tous les éléments il est le plus capricieux. Mais le plus fabuleux c’est qu il m’a coupé le souffle.

Christiane



J’ai failli perdre ma paire de gants
Mais j’ai préféré aller voir l’océan.
Plouf Plouf

La fourmi et le pigeon

C’est quoi un facochère dis moi ?
Ben… ! mer de chine ! Tu penses y revenir ? Il faut bien que la conscience nous ramène à la réalité. Quelle capitale ? La peine ? Je cherche mes mots, je doute, j’hésite. Mais toi petite fourmi, que fais tu là ? tu as perdu ta route. Si tu marches jusqu’au crépuscule tu verras les premiers frémissements de la nature. Garde espoir, la vie est belle. De nouveaux horizons t’attendent, fonce ma belle ! Le jeu en vaut la chandelle, allume la. Surtout ne mange pas ce splendide pigeon même si tu as faim ! Il te montre le chemin


Vent de vie

Mon voyage commence par son souffle sur les voiles de mon existance. Dans cet océan de larmes je surnage ; chaque jour, j’en déchire une feuille, espérant pouvoir effacer par ce geste violent toutes les peurs et les douleurs de ma vie.